Répondre toujours présent
Elles ne veulent pas faillir (souvent en position d’aide, d’accompagnement, de management…) et font passer leur conscience professionnelle avant leurs besoins.
Souvent elles ne sont pas faciles à convaincre car elles aiment être au service des autres. J’ai donc cherché différents angles pour aborder l’impérieuse nécessité de dire Non.
Il s’agit de donner de la valeur…
A ses OUI
Avouons-le, on sait bien qui est susceptible d’accepter nos requêtes. Et finalement ce sont souvent les mêmes vers qui on se tourne, toujours prêts à aider les autres. Mais ceux qui disent non valorisent leur acceptation car elle n’est pas systématique. Elle se mérite !
A soi-même
C’est aussi une façon de prendre en compte ses propres besoins : ai-je le temps ? Ai-je envie ? Ai-je d’autres priorités ? Etc.
Et de ne pas systématiquement les sacrifier. Se respecter et se considérer soi-même autant que les autres.
Et même aux autres !
En refusant, on met l’autre sur un pied d’égalité : nous sommes deux adultes, je ne prends pas son problème en charge, je considère qu’il est, comme moi, responsable et autonome.
Alors finalement, est-on plus utile quand on répond toujours présent ou quand on met en place les moyens de ne plus être indispensable ?
Bref : je ne suis pas indispensable, on peut se passer de moi et c’est même l’objectif.
C’est comme pour tout, on peut commencer avecr des petits Non sans grandes conséquences (en sachant le dire)