Pour le manager elle change tout : efficacité, motivation, communication, émergence d’idées… c’est un moteur.
Mais on le sait, elle ne se décrète pas !
Voici trois clés pour la mériter et la préserver.
1- Miser sur la transparence
Le cerveau cherche en permanence à se rassurer. Là où il n’a pas d’informations, il fait des suppositions, et bien sûr, les pires, pour nous protéger.
Mieux vaut donc communiquer très largement : expliquer toujours le pourquoi. Et si besoin rappelez vos objectifs, ceux de l’équipe, le rôle de chacun pour les atteindre…
Partagez également vos doutes et vos erreurs, cela vous rend plus authentique. La confiance, c’est aussi lâcher la garde. C’est un équilibre : montrer réellement qui on est, reconnaître ses défauts, mais s’appuyer sur ses points forts. La sincérité et l’authenticité sont des vecteurs de confiance.
2- Respecter chacun, être ouvert et compréhensif
Chaque personne a son rôle à jouer et mérite respect, considération et écoute.
Bâtir une relation de confiance avec quelqu’un, c’est essayer de le comprendre et se mettre à sa place. Pour cela, intéressez-vous à lui : Qu’est-ce qui compte pour lui ? Quelles sont ses peurs, ses difficultés, ses souhaits, ses besoins ? Qui est-il ?
Et il n’est pas nécessaire d’être d’accord sur tout pour se faire confiance, les avis contraires sont sources de richesse, tant qu’on trouve des solutions qui nous rassemblent et qu’on peut compter sur chacun pour les mettre en œuvre.
Être attentif à la relation
3-Enfin sachez accueillir la confiance que l’on vous fait avec gratitude et manifestez la vôtre. C’est un cercle vertueux, la confiance alimente la confiance, tout comme la méfiance entraîne dans un cercle vicieux. Donc en cas doute, de tensions même légères, ouvrez le dialogue, mettez au jour les malentendus. Votre interlocuteur vous en sera reconnaissant et la confiance sera préservée ou mieux, aura grandi.
Évoluer dans un environnement de confiance est tellement profitable à chacun, cela mérite bien qu’on y prête attention